Cette dernière a lieu au Tabari Artspace du DIFC à Dubaï, jusqu’au 27 janvier. Entre sérigraphies et toiles indépendantes, les œuvres de Ziad Al Najjar sont de toutes tailles, toujours liées entre elles par une palette de couleurs douces, pastels, avec des compositions qui se veulent naturelles. Le fait que le jeune artiste travaille sur plusieurs toiles à la fois explique aussi ce fil conducteur qui existe entre les toiles.
Ses études d’histoire de l’art lui ont permis de découvrir l’art islamique d’entre le XIIIe et XVIIe siècles, fort de représentations miniatures persanes prenant la forme d’animaux et d’éléments naturels. La chèvre revient fréquemment dans le travail de l’artiste.
« J’ai toujours eu des animaux et je ressens un certain lien avec eux. Ils ont une façon différente de s’approprier le monde. Plutôt que de regarder vers d’autres personnes, vous regardez ces animaux, avec lesquels nous ne pouvons avoir qu’une interaction limitée. » – Ziad Al Najjar (The National).
Photo : « Untitled », Ziad Al Najjar, 2022, copyrights The National.