Les sculptures d’Idriss B, polygonales et en 3D, se retrouvent dans des restaurants de Dubaï, à l’instar du Nusr-Et, ou sur le front de mer du Burj al-Arab.
L’artiste vient de lancer sa collection de jetons non fongibles (NFT) intitulée « Polyverse Art ». Cette collection est composée de 11 000 sculptures animales numériques, et elles ont toutes été lancées sur la blockchain Ethereum.
En plus de recevoir une œuvre d’art physique, les adeptes de la crypto-monnaie qui achètent l’un de ses NFT bénéficient d’avantages réels comme un accès exclusif à des concerts privés, des défilés de mode, des expositions d’art et des matchs de la NBA, peut-on lire sur le site Web de l’artiste, polyverseart.io
Rappel : un NFT peut être n’importe quel fichier numérique – GIF, JPEG, tweet, MP3 et MP4, pour n’en citer que quelques-uns. Chaque fichier possède un numéro de série qui prouve les droits de propriété. Vous possédez le NFT et ces informations sont stockées sur une blockchain, qui est un registre numérique inviolable. En plus de générer des profits, les artistes et les créateurs de contenu peuvent conserver l’intégralité de leurs droits d’auteur et interagir avec une communauté plus large.
Photo © Arab News