La pièce, mise en scène par Lina Abyad raconte l’histoire d’un trio de retraités en week-end, qui partage, loin de leurs compagnes, leurs souvenirs et leurs quotidiens. Si ces derniers temps, les planches beyrouthines ont surtout donné la parole aux femmes – « Mafrouké », « Le monologue du vagin », « Bass ana bhebbak « Vénus », « Julia Domnia », … – ces dernières donnent aujourd’hui le micro aux hommes et à leurs déboires. À voir du 7 septembre au 2 octobre au théâtre Monnot.
Photo : les comédiens, crédits L’Orient-le-Jour.