Dima Abdallah publie son second roman, « Bleu nuit », aux éditions Sabine Wespieser.

Résumé : le narrateur est terrifié à l’idée d’affronter le monde extérieur. Il vit cloîtré dans son appartement, et ce jusqu’à la mort d’Alma, la seule femme qu’il ait aimée. À la suite de cet événement, il sort enfin de chez lui, décidant de vivre dans la rue après avoir jeté ses clefs dans une bouche d’égout. Désormais, il erre autour du Père-Lachaise, change d’emplacement tous les soirs, cherchant à conjurer les violentes réminiscences qui le hantent.

L’auteure avait remporté le Prix France-Liban de l’Adelf pour son premier roman « Mauvaises herbes » paru aux éditions Sabine Wespieser, qui avait également reçu la mention spéciale du Prix de la littérature arabe de l’Institut du monde arabe et de la Fondation Lagardère en 2020.