« Camus, l’espoir du monde » de Mona Azzam

Publié aux éditions d’Avallon, la jeune autrice imagine la vie et le monde si Albert Camus n’avait pas succombé à son accident de voiture. Elle s’est octroyée la liberté d’imaginer qu’il n’était pas mort, mais qu’il était plongé dans le coma dont il ne se réveillera que vingt ans plus tard, dans un hôpital en Russie – selon certaines thèses, l’accident de Camus aurait été l’œuvre du KGB. Le lecteur se trouve ainsi dans les années 1980. Albert Camus a alors eu 67 ans.

Ce livre a pris pas moins de dix années à son autrice, qui a relu toute l’oeuvre de Camus et a écouté en boucle ses discours et les propos de sa fille, Catherine Camus.

Le livre se lit principalement comme des lettres adressées à ses grands amis, les poètes René Char et Louis Guilloux, et à Maria Casarès.