Le Président Tebboune a chargé lors de cette réunion, la ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji de « la création d’une instance nationale dont les missions seront attribuées aux gens du secteur afin de superviser l’activité cinématographique et de relancer ce domaine vital, notamment avec la production, ces dernières années, d’excellentes œuvres dramatiques et l’émergence de jeunes talents en actorat et en réalisation » – communiqué officiel du gouvernement.
Le président de la République a ordonné également d' »encourager tous les talents et les compétences cinématographiques en Algérie, tout en captant celles parmi les enfants de la communauté nationale à l’étranger en leur ouvrant la voie pour présenter leurs œuvres et contributions, pour faire de 2024 l’année du lancement de la production cinématographique ».
L’Etat s’engage, dans ce cadre, à « financer les œuvres cinématographiques jusqu’à 70% à travers des crédits bancaires, tout en aidant les gens du secteur à réaliser des studios de tournage et des villes cinématographiques permettant à l’Algérie de renouer avec sa gloire et son lustre cinématographique ».