Red Sea Film Festival de Djeddah dévoile les films en compétition dans la catégorie des courts métrages arabes

Du 30 novembre au 9 décembre seront projetés ces onze courts métrages :

  • « Smokey Eyes » , réalisé par le célèbre réalisateur égyptien Ali Ali, avec le rappeur Marwan Moussa, se déroule au Caire pendant sa période la plus chaotique. Il suit une fille dont la soirée se transforme en un cauchemar de peurs et de défis. Ali Ali a remporté plusieurs prix tout au long de sa vie professionnelle, le classant parmi les réalisateurs les plus récompensés au monde.
  • « Manity », réalisé et écrit par Hussen Ibraheem, raconte l’histoire de Firas, 11 ans, alors qu’il se lance dans une aventure de chasse aux oiseaux dans la campagne libanaise avec son père Tayseer et son ami Rayan. Ce qui commence comme un voyage de chasse normal se transforme en un voyage inoubliable, transformant une journée ensoleillée ordinaire en une aventure inoubliable.
  • « The Key » , un film réalisé par le palestinien Rakan Mayasi, tourne autour de la jeune Edina qui est constamment dérangée par un son mystérieux perturbant son sommeil la nuit. Alors que ce bruit inquiétant envahit de plus en plus leur vie, reste à voir comment ses parents réagiront.
  • « Somewhere in Between », de la réalisatrice libanaise Dahlia Nemlich, raconte l’histoire d’un couple confronté à une séparation imminente. Faisant plonger Elias et Christiane dans leurs souvenirs communs, ils se préparent à un ultime adieu qui mettra à l’épreuve la force de leur lien.
  • « Amplified » de la réalisatrice jordanienne Dina Naser raconte l’histoire de Hind, une jeune combattante charismatique de karaté malentendante. Après un incident traumatisant au centre de karaté, le monde de Hind sombre dans le chaos, mettant à l’épreuve sa résilience et son esprit.
  • « The Woodland », réalisé par l’acteur libyen Firas Taybeh, retrace le parcours de deux frères partis enterrer leur père décédé. En cours de route, des problèmes non résolus font surface, les obligeant à se confronter au véritable sens des liens fraternels, des liens familiaux, de la terre et de la fierté personnelle.
  • Réalisé par l’égyptien Jad Chahine, « L’appel du ruisseau » présente l’aventure d’un jeune garçon dans un ruisseau maudit, où il est témoin d’un événement qui change sa vie et qui déterminera finalement son destin.
  • « Farewell », réalisé par le palestinien Ibrahem Melhem, met en scène le voyage risqué de Salma vers son pays natal, traversant illégalement les frontières pour livrer le corps de son frère à la maison familiale. En chemin, elle rencontre des défis qui l’obligent à prendre une décision qui changera sa vie.
  • « Saeed », réalisé par le saoudien Rami Alzayer, explore la vie de Saeed qui décide de s’enfuir en apprenant que sa sœur Salma doit retourner chez leur mère. Son voyage est une recherche d’un refuge plus prometteur
  • Dans « Deaf », le réalisateur libanais Roy Arida présente la tâche solennelle de Hassan consistant à créer le dernier lieu de repos de sa défunte épouse avec l’aide de ses enfants, Tamara et Rami. Ils sont déterminés à réaliser le dernier souhait de leur mère : être enterrés dans son village d’enfance, abandonné depuis plus de deux décennies.
  • « Me & Aydarous » , réalisé par Sara Balghonaim, met en scène une jeune femme saoudienne courageuse qui se faufile pour un rendez-vous, ce qui conduit à une dispute avec son chauffeur – qui se trouve également être son chaperon. Le film explore les complexités de la liberté personnelle et des normes sociétales dans une société conservatrice.