Les paraboles de Karim El Badri.

Le jeune peintre et enseignant à l’école primaire a décidé de donner des couleurs aux antennes des toits de Rabat à coups de pinceau.

« Nous aimons vivre libres. Même l’art est censé être libre sur les toits. Il n’a pas de lieu. Il peut donner à l’humain une bonne santé et faire de lui un créateur. Le fait de contempler une œuvre procure du bonheur. » Karim El Badri pour le journal Aujourd’hui.

Photo : copyrights Aujourd’hui.